2020
06.03

Que dire, que dire.

… Mille merci à Baptiste, compagnon de cordée d’exception, pour cette course extraordinaire, qui nous a posé sur un nuage de neige de glace et de roche mêlées.

En arrivant sur l’arête sommitale de l’Ailefroide

Les obstacles commencent sur La route de La Bérarde

Voilà, c’est là.

Que des bonnes conditions en fait et puis des  infos fraîches de qualité, généreusement données par Mathieu, Sonia et Fred. De la glace « costaude » dans les parties raides, de la neige ferme dans les couloirs intermédiaires moins raides et du rocher sec dans les parties mixtes.

L’approche depuis le refuge de Temple Ecrins, nous a semblé bien idéale, pour minimiser le poids des sacs dans la voie, sans avoir à venir récupérer du matos de bivouac.

Baptiste en promenade.

Et puis, bien content de rencontrer sur « la colline », comme il dit, : Nikki et Sandro, embarqués eux aussi dans ce voyage « tordu » et jubilatoire.

Nikki et Sandro au pied du premier ressaut.

Une des longeurs clefs dans le premier tiers de la goulotte.

 

Belle longueur, avant de déboucher vers le haut de la voie des Plaques.

La sortie sur l’arête sommitale de l’Ailefroide occidentale

Vue sur la partie haute de la descente.

Au final, une bonne quinzaine d’heures pour parcourir ces 1000 m de face raide et technique, puis retrouver la vallée pour se « goinfrer » d’un repos bienheureux. Que ne faut-il pas faire des fois pour bien dormir. Mais ce serait un peu court, si c’était là  la seule motivation pour gravir ce caillou.

… On a pas fini d’en reparler au bar.

… Les photos de « ce bon coup » ici.